Forum - [Movésaleinedhil2] Coke en Stock, Hippies et Cie. __ /!\ -18
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Pyranèse | 01/03/10 19:47
[Attention. Ceci n'est pas une fliction.]
"C'est le commencement qui est le pire, puis le milieu puis la fin ; à la fin, c'est la fin qui est le pire."
> Movésaleinedhil, Route Est 153, Campement du Stère de bois.
« Peut-on me dire pourkoi les échalas sont entassés ici?! Beugla un hidalgo vert du haut du fauteuil rococo gravé à son nom: Sancho. Car, malgré son bandana lilas et sa chemise tavelée de fleurs bleues, l'orkanisateur du méga festoche nourrissait une fâcheuse propension à prendre la louche au moindre fourbi de traviol. Vous dreamez, là. La buvette ne va pas se trouver en plein milieu de l'estrade! C'est pas un banket, bande gnioufs, c'est un kastagno-festoche! Je vais pas servir du champi à 360°. On m'a pas enkore greffé une autre paire de bras et d'yeux au kul, ho! Placez les poutrelles près de la façade Est, et les projekteurs à huile sur les façades Ouest, pronto!
Et les gobos de retourner illico à leur montage sous les injonctions de Sancho, lequel beuglait avec satisfaction au travers de sa toute nouvelle invention. Le Mi-crocs; trachée de squig taillée en entonnoir, faisait son petit effet. Le campement, cependant, restait vaste; et Sancho flattait l'espoir de pouvoir relier les ondes lancées par son mi-crocs, génie qu'il était, jusqu'à des récepteurs-écouteurs portés par les spectateurs. « Ma ké, du plus bel effet! Lança-t-il à son gobelin de pieds, tout esgourdi. Avance-moi le rail ke je me repoudre le nez, veux-tu? *Sniiiifffff, ahhhh*. Des oreillettes, disais-je, ke chakun aura à sa disposition dans des kaskes fournis à l'entrée. J'ai déjà le nom en tête: « Heaume Cie & Ma, l'ouïe à portée de voix. Muy bien, he?
-Skrontch? 
»
Au beau milieu du campement, qui recevrait des milliers de spectateurs, une serre géante achevait de se construire. En son milieu, une vaste étendue de culture d'Herbes À Pipe, sponsor de ce Movésaleinedhil. La plantation était un vaste labyrinthe de hautes plantes et de rochers ramenés tout spécialement de Martendhil. Effritée, la pierre fournissait une poudre particulièrement bonne dont Sancho raffolait. C'est au beau milieu de ce caste champ artificiel que se dérouleraient les duels. Quant aux tribunes, elles longeaient la vaste esplanade herbeuse, séparés par une fosse. Sous la serre, la chaleur promettait d'être accablante. Parfaite pour une ambiance comminatoire; parfait aussi pour les bénéfices de la buvette.
« Places, Places! S'époumonait une gobeline en arpentant le campement lorsque Sancho sortit de la serre. Ach'tez des places pour le festival des gnons! 15 Or la place! Places numérotées! Y'aura une estrade ViEille Pie, c'est plus cher mais ça vaut l'koup. Plaaaacces!
-Skrontch! Héla un gobelin lorsque Sancho passa à son côté. C'est koi ke tout c'tapaje? K'est-c'ki s'passe ici?
-Ceci, mon brave, est le signe avant koureur d'un divertissement orko-populaire dont je suis l'auteur. En bref, nous montons une lice où se battrons les meilleurs bastonneurs du kampement Pyranésien. Ca va saigner, et ça va gobeloter. Tout ça dans une ambiance vaporeuse et festive! Tu aimes la baston? Tu aimes la guerre et le stupre? Alors prends ce pot de peinture et laisse s'eksprimer ton talent. Allons, va mon enfant. Et n'oublie pas la seconde kouche.
Sancho exultait sous sa chemise à fleurs. Les affaires allaient marcher du tonnerre. Les nouvelles recrues paieront pour intégrer le campement, et la serre leur permettra de s'entrainer comme dans une vraie ourte! Et entre chaque baston, pour que le festival des gnons ne baisse jamais le régime, il avait même pensé à engager de petits groupes de musique du terroir. Bientôt, il pourrait renommer le campement du Stère de bois en Woodstock. Yeah. Plus qu'à attendre l'arrivée de l'attendue Pyranèse au campement. Les bras levés, Sancho claironna au monde avant d'entrer dans sa tente:
-Des lunes et des lunes de guerre et de baston! Des centaines d'hektares à parkourir. Promène-toi pendant des heures dans la boue, fais voler des cerfs non-volants. Kuisine toi-même ton sanglier et respire l'air pur! Approche, spektateur et rekrue, pour l'avènement de la violence, de la soule et du Rork 'n gnôle! Pour le racisme et pour la guerre! *Levant deux doigts victorieux* Yeah! Viens akomplir ton devoir et reprends avek nous le refrain de l'épée et l'armour!
Les gens allaient littéralement se tuer pour venir. C'était vraiment d'la balle.
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Pyrousse.
Kruche notoire, Outre gourdasse.
Baramir d'Eckmöl | 02/03/10 20:19
Un évènement à ne manquer, pour sûr !
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Baramir d'Eckmöl, Mister Daifen 2008.
Archiviste occasionnel de la Skippypédia
Pépé Narvalho | 03/03/10 17:48
C'était vraiment d'la balle, cette intro ! 
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Pépé Narvalho, Bouleute du Firmir et adorateur de Tosrm
Baramir d'Eckmöl | 03/03/10 21:16
Et c'est compilé sur Skippypedia 
.
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Baramir d'Eckmöl, Mister Daifen 2008.
Archiviste occasionnel de la Skippypédia
Ursula La Gladiatrice | 09/03/10 10:43
Et bien...j'en perds mes mots 
Celimbrimbor | 09/03/10 13:58
Passe et les ramasse.
Blague à part, amusant.
Participez au projet d'anniversaire des 10 ans de Daifen : [Lien HTTP] !!
Venez apporter vos idées pour le scénario du roman écrit spécialement pour l'occasion : [Lien HTTP] !!
Pyranèse | 10/03/10 20:38
[Pendant ce temps, sur l'embarcadère, galère.]
"Bien plus que le costume trois pièces ou la pince à vélo, c'est la pratique de la torture qui permet de distinguer à coup sûr l'homme de la bête."
-Chèèèèèffe!!!! Chèèèèèffe!!!!
-Ta gueule!
D'un grand PAAAFFF qui résonna dans tout le dock, Grank'on envoya le gobelin rayer le bitume avec ses dents. Élaguant le pavé de sa jambe de bois, l'orc accueillit l'arrivée des trois autres gobo-guerriers, bras croisés.
-C'est katastreux!
-C'est la désastrophe!
-Faut k'on kause à la chèffe.
Reniflement de Grank'on, tandis que plus loin, Pyranèse jouait de l'orgue avec ses narines. Trois plombes qu'ils arpentaient le port. Évidemment, l'orquette mononeuronne en avait oublié la raison de sa venue. À défaut de l'occuper avec les moyens du bord, on l'occupait avec les moyens du port.
-Ouais, ben koi?
-On a été voir, aukun bateau pour Movésaleinedhil est enkore parti!
-On va arriver en r'tard!
Nouveau grognement. Bras croisés, Grank'on analyse vite fait la situation. Une chance qu'il reçoive périodiquement sa greffe de cerveau.
-Z'avez dit k'aukun ork était parti?
-Oui! C'est horrible!
-Et k'on allait être en r'tard?
-Oui! C'est affreux!
-Gramph. Donk, si aukun ork n'est parti, on s'ra tous en retard?
-Krontch?
-Donk, si on est tous en retard, on s'ra pas en retard les uns par rapport aux autres, non?
-Vous voulez dire k'en fait on est déjà arrivés?
-Gramph. Nan, tête de pioche. Mais on pourrait en profiter pour zigouiller les z'autres avant d'arriver sur place.
Tournez méninges, la petite assistance pige que dalle. Devant les 4 gobelins ahuris, Grank'on se perd dans ses calculs. S'ils arrivaient seuls sur Movézaleinedhil, ça signifierait qu'il n'y aurait pas de kastagne. Pas de kastagne, c'est pas de victoire, donc, pas de Raceodhil pour lui, qui rêvait de racler le groin des engeances bâtardes Nelrk. Mais déjà une plainte au loin détourna l'attention des 4 gnomes verts. Une bande de gobelins se tassaient à la queue leu-leu sur l'embarcadère d'un petit navire, billet et baluchon en main. Interpelés par leurs trémolos, voilà que nos gobelins s'approchèrent pour questionner:
-Où vas-tu l'ami de ce pas?
Réponse allègre du groupe en face:
-JE M'EN VAIS À LA GUEEEERRE!
Interressé, notre Grank'on tend l'oreille.
-De kelle guerre parle-tu mon gars?
-JE NE SAIS PAS, JE N'EN AI KE FAIIIIRE!
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Plus hardi que les autres, un gobelin-hippie sortit du lot:
-Ouais, ça va déchirer sa race! 'paraît k'va y avoir d'la kastagne à volonté, avek supplément de schnouff! Ça va swinger les kékés! Venez avek nous!
Quelques minutes de concertation, et finalement, Grank'on, Pyranèse et les 4 gobelins embarquèrent en compagnie des gobos hippies. Ils arriveraient finalement à l'avance, et le trajet maritime ne fut pas vain. Là, ils apprirent l'art du schnouff et composèrent en choeur une mélopées de leur cru.
[Lien HTTP]
Toute la journée komme une ivrogne, à s'envoyer de la bibine,
À somnoler au fond d'une tonne, Pyranèse agite la mimine.
Elle se dit k'avek ses hémoglobines, ses grands koups de verres de gnôle,
Elle pourrait faire pousser une gobeline, pour s'en faire une maritorne.
Kand Pyranèse montre les krocs,
Émergent aussitôt toutes les gueules vertes.
Alors elle kourt traîner des gobos
Pour aller taper du Nelrk, avek tout ce k'elle chope.
Sous ses grands airs de misanthrope,
Elle tape du Nelrk.
Grank'on affektionne le training, à s'en péter tous les neurones,
Et dans ses pek' de gélatine, s'injekte de la testostérone.
Grank'on charkute beaukoup de naines, Grank'on perkute beaukoup de nones
Et puis kand Grank'on a la haine, il tambourine, krache et s'époumone.
Mais kand Grank'on fait son radeau,
K'il fend des bûches tout en sniffant des cèpes,
Il gueule pour attirer les gobos
Et aller taper du Nelrk, avek tout ce k'il chope.
Sous ses grands airs de misanthrope,
Il tape du Nelrk.
Un jour Grank'on renkontra Pyranèse, et lui dit « komme vous z'êtes trognone.
Vous z'êtes mon héroïne, viendez chez moi j'vous foutrai des torgnoles. »
Et en chantant ce petit air, Pyranèse et Grank'on s'associèrent.
Ils eurent des gobelins k'ils entrainèrent,
Pour dhiler avek leurs kongénères.
Pour enfin taper du...
Pour enfin taper du...
Pour enfin taper du Ne Ne Ne Ne Ne Nelrk, avek tout ce k'ils chopent.
Tous ensemble, dans la grande serre, on s'en va renifler des cèpes
Pour aller taper du Nelrk, avek tout ce k'on chope.
Sur tout le dhil, dans le Woodstock, on tape du Nelrk.
Comme le disaient si bien les hippies, ça allait déchirer sa race.
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Pyrousse.
Kruche notoire, Outre gourdasse.
Celimbrimbor | 10/03/10 20:54
J'en viens à me demander si Pyranèse possède un quelconque sens musical...
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Pépé Narvalho | 11/03/10 08:00
En tout cas elle en a bien plus que mon Gob' Francois ! Va falloir que je lui en cause 2 mots, d'ailleurs...
Bravo Pyranèse, c'est toujours aussi bon ! 
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Pépé Narvalho, Bouleute du Firmir et adorateur de Tosrm
Kourgan | 12/03/10 16:30
Ouais, faut taper.
Pyranèse | 20/03/10 17:40
[Préparations et apparition]
« L'homme pense.
Le cheval pense.
Le mouton pense.
La vache pense.
Le chien pense.
L'orc ne pense pas.
L'orc est muet, inexpressif.
Car l'orc sait. Il sait tout. »
Sous la tente de Sancho, les préparatifs battaient leur plein. Penché sur son pupitre, l'orc hidalgo distribuait les directives à tire-larigot.
-Bon. Jaunes Les Nones, vous ferez la première partie sur votre titre 'L'otite bis', c'est pigé?
Hochement de têtes dans le coin où était entassé la bande des quatre gobos hurleurs. Leur faible résistance, et leurs maladies à répétition leur avaient conféré un grain de peau jaunâtre qui leur avait valu leur célébrité, en sus de leurs fameuses chansonnettes.
-Yoda-Saint, tu enchainera la seconde partie avek 'Soufflet sur la trombine'. Je veux ke ça pète de partout, avek les korégraphes et les jets de fumée. On a déjà vu la mise en scène avek les tekniciens. Après toi, on démarre le tournoi de lutte. À la mi-temps, pause bière pendant que Jayke Deux-Troncs me fera un duo avek les Super Trempes, et k'on sable le terrain. Allez pas glisser sur les marres de sang. Anda! Filez répéter, bande de morves!
Sancho se rasseyait devant ses plans pendant que la troupe trimbalait ses tambourins à l'extérieur.
-Vous katre, là, vous cherchez du boulot?, grogna Sancho en apercevant un reste de gobos désoeuvrés sous la tente. Vous savez vous battre? Porter des tonneaux?
-Non m'sieur, répondirent-ils en choeur.
-Rah, si on m'envoie ke des inkapables, aussi! Bon, et vous chantez des truks de Nelrk?
-Euh, oui m'sieur, dans un nouveau hochement de tête général. [Lien HTTP]
Sancho leur agita sous le nez une boîte de mi-crocs avant de replonger dans ses plans.
-Prenez moi ça et allez vous entrainer. Et k'ça saute, pronto! J'ai pas ke ça à...
-Maître Sancho! Maître Sanchoooooooooooooo!
Déboulant sous la toile comme un damné, un gobo gesticula devant le pupitre de l'hidalgo. Ses yeux étaient exorbités de terreur et son souffle haché parfumait la tente de ses exhalaisons de fenec décomposé. Relevant les yeux de ses plans de construction, Sancho grogna entre ses chicots d'or.
-Tu vois pas ke je travaille, hijo de putita madré? Si c'est enkore un problème de kanalisations, ou si c'est pour augmenter ta paye, tu peux aller te faire kuire un oeuf de Yoshi.
-Maître Sanchoooo, c'est terriiiiiiible! Ils arrivent! Ils sont des dizaines! Des centaines! Des milliers! On va tous krev....
Pas le temps de finir sa complainte, Sancho l'avait empoigné par le col, le trainant avec lui à l'extérieur de la tente. Inutile de chercher bien loin: un bruit assourdissant s'élevait, faisant trembler le sol. En contrebas du campement, l'horizon était soulevé par un nuage de fumée opaque. Surgissant des nuées de poussière, toute une cavalcade arrivait droit sur eux.
-Madré mia! Ne me dites pas ke ce sont des kollants?
Pourquoi n'avait-il pas pensé à faire installer des tours de guet? Plissant les yeux, Sancho commençait à identifier le groupe à mesure qu'ils s'approchaient.
-¡Joder! Mais, ce ne sont pas des chevaux! Ce sont des...des...
Et le sol de vrombir sous l'assaut de trentaine de sabots ferrés, carrossés et crantés. Des montures à poil raz ferrées, clinquants bling-bling, pur style et vitesse de pointe, avec étriers crantés. Ils laminaient tout sur leur passage: les fleurs, les cafards, les branches mortes et les petits enfants. À moins d'un engrais super puissant, rien ne repousserait jamais après le passage de cette horde sauvage montée par une tribu d'orcs et de gobelins. [Lien HTTP]
-Des skuigs de kourse!...
Plusieurs dizaines de gobelins du campements les avaient rejoins lorsque le troupeau s'arrêta dans Woodstock. Parmi eux, deux orcs et une demi douzaine de gobelins hippies. Sancho respira, il les avait crus plus nombreux. Apparemment, leurs intentions étaient neutres.
-Hugh! Ki est votre chef? Beugla un orc estropié, pendant que ses confrères montés affectaient de gober les moucherons qui leurs collaient à la face. Et tout le campement de pointer Sancho du doigt. [Lien HTTP]
-Ke...Ke...Ki...ki...? Sancho, mal à son aise, déserra un peu son col en dentelles.
-Grumph! Reprit l'estropié. Je suis Grank'on, et soyez kontents, kar je vous apporte la guerre. Je vous apporte Pyranèse.
À son côté, juchée sur un gros squig de compet' sellé, une orquette scrutait le campement de ses petits yeux porcins. Plantée dans son topless armour, ses nerveuses pektomiches saillaient admirablement sous la lumière du soleil accablant. Il s'y mêlaient des odeurs de bête et de terre et de sueur.
-Be...Bienvenue sur Movésaleinedhil2, articula Sancho. Nous ne vous attendions plus.
L'orquette lui répondit d'un sourire absent.
-Gnaaaa, koupins?
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Pyrousse.
Kruche notoire, Outre gourdasse.
Edité par Pyranèse le 21/03/10 à 02:07
Celimbrimbor | 21/03/10 20:44
Je rappelle à tous hasards qu'avant d'être un clin d'oeil dans ce film, la Horde Sauvage est un western magnifique de Peckinpah. Juste au cas où. Comme ça. Bref.
Toujours hilarant!
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Estré | 25/03/10 08:04
Maintenant ke la cheffe est arrivée, ca va filer doux dans le kamp... ou pas ! 
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Estré, fils de Pépé Narvalho
Edité par Estré le 25/03/10 à 08:04