Forum - [10 ans Daifen] Scénario roman.

Pépé Narvalho | 04/02/10 13:08

Oui, youhou aussi.
Je me suis rendu sur la page de Skippypedia, mais j'avoue que je m'y suis senti bien seul. Certes le principe de Skippypedia est que chacun peut y ajouter ce qu'il souhaite, mais je ne vois pas le début du commencement.
Bref, comment on procède ? Chacun tape là où il le souhaite, au risque d'avoir quelque chose de pas du tout coordonné ?

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Pépé Narvalho, Bouleute du Firmir et adorateur de Tosrm
Venez vous battre sur Raceodhil2 ( [Lien HTTP] ), si vous l'osez !

Shadee | 05/02/10 12:25

Hum hum, la question est peut-être bête Mais là, personne n'a commencé quelque chose, ou alors je visionne la mauvaise page?

Parce que je voulais commencer mais dans le doute je me suis abstenue

Celimbrimbor | 05/02/10 12:51

Juste, foncez.

Participez au projet d'anniversaire des 10 ans de Daifen : [Lien HTTP] !!
Venez apporter vos idées pour le scénario du roman écrit spécialement pour l'occasion : [Lien HTTP] !!

Celimbrimbor | 11/02/10 22:14

Oué!!

Go go go!

Une sucette au participant le plus zélé!

Mieux! Une nuit d'amour torride avec Althâr!

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Orezbes Barbefroide | 09/03/10 20:27

Je suis toujours là pour huer vos conneries.

Orezbes Barbefroide | 10/03/10 12:39

Je le sais.

Orezbes Barbefroide | 10/03/10 16:47

Il y a un moyen de consulter l'avancée du projet pour savoir à quoi je peux me greffer ? Si ce n'est pas le cas j'ose espérer que si ça n'avance pas les gens à l'origine de l'idée et ceux qui se sont proposés ont eu le droit au même sermon et à la même invitation à remuer du séant ?

C'est précisément parce que je tout ce que je propose ou écrit est aussitôt estampillé sabotage du rp à grand coup de rien du tout aigri que je ne me sens pas l'âme du guide sur le sujet.

Ce que je dis est nuisible et sans intérêt, je m'économise donc, par pure bonté d'âme, si si chez moi aussi. Comme tout le reste de ce que j'ai pu essayer de faire ne vaut rien on devrait pouvoir me trouver une place à distribuer les tracts sur comment faire un rp qui fasse plaisir. Je dois être capable de décrire des lieux, ça ne demande pas de trop jouer sur le sentiment et ça ne devrait fâcher personne. Je préviens quand même que pour le dessin c'est à oublier car je ne sais pas tracer une ligne droite, même à la règle.

En tout cas ce n'est pas comme ça qu'on me fera écrire avec mes miches.

Baley | 10/03/10 18:48

Tout l'avancement doit être là :
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Aerendil | 30/04/10 19:08

Est-ce qu'il existe une liste à jour des gens encore présent (aie), toujours motivés (ouch) et avec le temps d'écrire?

Sinon il serait p-e bon que les personnes qui se reconaissence dans le paragraphe précédent se fasse (ré?)-entendre, histoire de faciliter la tache à célim lors de la répartition des tâches.

@Celim: Tu compte contacter les auteurs par mail? tu as besoin d'aide?

Celimbrimbor | 03/06/10 15:16

Introduction :

La scène se déroule dans un château bien noir, perdu dans une terre bien noire et maudite également. Assis sur un fauteuil, de dos, le grand méchant soliloque sur combien son plan et machiavélique. Attaché sur une table, le page l'écoute. Le plan consiste simplement à faire disparaître les élémentaires du monde de Daifen, de façon à le faire mourir petit à petit : privé de ses forces vitales, il n'y survivrait pas.
Le page s'exclame que des héros se dresseront un peu partout pour empêcher ça.

Chap. 1 :

On rencontre un personnage pas forcément très finaud, un bon vieil orc des familles. Celui-ci est un jeune guerrier d'un clan nomade qui a décidé, parce que le chef l'a dit, de se sédentariser. Machin (appelons-le Machin pour l'instant) veut courtiser la fille du chef. Mais le chef ne voit pas cette union d'un très bon oeil : Machin est grand, vert et idiot. Comme beaucoup d'orcs, mais faut pas pousser non plus. Il impose alors à Machin d'aller chasser l'humain le plus fort dans le village d'à côté et d'en récupérer sa peau. Il espère que Machin échouera mais, s'il réussit, le fera exécuta et l'offrira au village humain, en signe de bonne volonté, en le faisant passer pour un criminel. Sauf que Machin n'arrive pas au village en question. Avant d'y parvenir, il tombe dans un trou. Ou plutôt, la terre s'ouvre sous ses pieds et l'engloutis. Il se cogne assez fort en tombant et s'évanoui.

Chap. 2 :

C'est dans les bois que l'on rencontre un vieux primotaure. Celui-ci a senti quelque chose s'effacer du monde et ses racines lui disent que ce n'est pas bon. Un peu à la manière de Fanghorn dans le S.D.A, il essaie d'avertir ses amis les primotaures qui ne l'écoutent pas vraiment, trop occupé à communier avec la nature et les grands cornus. Lors d'une grande assemblée où il explique que la vie semble avoir déserté Daifen, il se fait répondre que de toute façon les primos s'en foutent, ils retourneront sur Myrilla s'il le faut. Bidule (je ne suis pas fort sur les noms), dépité, s'en va. Dans son esprit germe une idée : détruire le portail menant à Myrilla pour forcer les Primo à agir. Il s'enfonce dans la forêt, entreprenant un voyage que peu des siens font. Arrivé au portail, stupeur : celui-ci est déjà détruit.

Chap. 3 :

Il fait nuit sur le cimetière et le zombie en profite pour se relever de sa tombe. Il regarde les lumières des étoiles et frissonne en pensant à ces boules de gaz trop chaudes. Truc est un zombie pensant et cela lui pose problème. En regardant les tombes et les angles qu'elles forment avec les ombres des arbres, il a calculé que la mort avait disparu du monde, ce qu'il ne comprend pas. Il a beau recommencé encore et encore ses calculs, il obtient toujours le même résultat : les élémentaires de mort, qu'il aimait humilier aux échecs, ne sont plus. D'autre part, l'un d'entre eux lui doit quand même pas mal d'argent. Truc va donc aller se plaindre chez un comte vampire de la région, pour faire bouger les lignes. Vous savez, le même comte que dans l'intro.

Chap. 4 :

Trucmuche le nain n'a pas de bol aujourd'hui. D'abord, son père le fout à la porte de sa caverne parce qu'il tape trop fort, ensuite la veine d'argent qu'il suivait s'épuise sans signes avant coureur et maintenant un orc lui tombe sur la tronche. D'où un mal de crâne conséquent. D'autant plus que le choc dû à la chute de l'orcidé (désolé) a dérangé quelque peu le subtil équilibre des forces qui tenait la galerie debout. Et l'empêchait de s'effondrer sur celle du dessous. Trucmuche, remis un peu de ses émotions, essaie de se faire la belle sans aucun bruit, pour ne pas réveiller Machin. Problème, celui-ci se réveille bien et... Ben, comme tout orc au réveil : il brame pour signaler qu'il a faim. Cela achève de faire s'effondrer la caverne et les deux personnages tombent vers le centre de la terre. Enfin, aussi loin que les nains aient creusé.

Chap. 5 :

C'est la galère sur la galère, les vents ont arrêté de souffler. Bon, le calme plat, cela ne déplaît pas à Biloute le nerlk, parce que cela lui donne l'occasion de faire un peu d'exercice sur les bancs de rames. Mais quand cela dure depuis deux mois sans que les sorciers des clans ne sachent faire quoique ce soit pour changer la donne, cela l'énerve un peu. Il prépare donc une mutinerie avec les gens de son banc et la met en pratique avec succès, ce qui lui donne le contrôle du navire et de la flottille. Son premier ordre est de d'augmenter les cadences des rameurs, pour les empêcher de penser à se rebeller, et de mettre voile, enfin, rame, vers une petite île qui dans le folklore nerlk s'appelle l'île des vents. En espérant qu'elle porte bien son nom.

Chap. 6 :

Grostas est une humaine pas tout à fait comme les autres filles du château : elle aime la bière, la baston et les concours de celui qui pisse le plus loin, qu'elle remporte assez souvent pour qu'on se pose des questions. Princesse de son état, elle est destinée à reprendre les rênes de l'État de son père. Le problème est qu'elle possède la subtilité d'un taureau lancé à fond de train vers un truc rouge qui s'agite. Néanmoins elle est aimé du peuple, encore plus depuis qu'elle a annoncé qu'elle allait s'occuper du problème des bois hantés de la région, sous prétexte qu'elle avait besoin de prendre l'air, son dernier prétendant ayant réussi à se libérer de ses liens. On la suit donc en train de s'équiper sans prendre garde aux remontrances lassées de son père. Elle sort du château et après une chevauchée paisible, arrive dans les bois.

Chap. 7 :

Crasse est l'inventeur d'un nouveau genre de musique, qu'il joue avec une lyre étrangement allongée sur laquelle il a attaché une sorte de bestiole qui crie très fort et très aigu dès qu'il pince une corde. (Tout ressemblance avec Accrocs du Roc est vraisemblablement voulue) Le problème est que quand on est un elfe, ben ça fait tâche de se pointer en beuglant Butez-les tous à un festival de musique traditionnel. Crasse fut donc banni de son clan et erre de droite et de gauche dans la nature, se consolant en se faisant des petits solos pour lui tout seul. L'avantage, c'est que les chasseurs du coin n'ont plus besoin de rabatteurs. Un jour, alors qu'il est en train de jouer sur les berges d'un lac dont les galets vont d'eux-mêmes faire des ricochets sur l'eau pour lui échapper, une figure vaguement humanoïde apparaît devant lui : « Ca me fait mal de le dire mais... Je vous en prie Crasse, vous êtes notre seul espoir. » Et l'apparition avec des macarons en guise de cheveux de disparaître. Crasse, persuadé d'avoir trouvé là sa première groupie, prendre une grande inspiration et plonge dans le lac.

Interlude :

Pendant ce temps, dans le château noir, le page se fait lentement arracher les pages.